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la Seconde Guerre Mondiale, le parachute s'est imposé comme l'un
des meilleurs moyens de pénétration en territoire ennemi:
discret, silencieux, indétectable au radar, il permet de s'infiltrer
rapidement et est adapté ausx mission délicates.
De plus, les kayaks, les
petits propulseurs sous-marins (TSM)
et même les Hurricane
peuvent être largués en ouverture automatique, élargissant
une nouvelle fois le rayon d'action des nageurs de combat.
Parachutage d'un kayak
La DSV (Dérive sous voile)
Les parachutistes peuvent sauter sans oxygène
jusqu'à 4000 mètres. Au delà, un masque et une
combinaison spéciale sont nécessaires.
Les nageurs de combat peuvent aujourd'hui effectuer
des sauts à partir d'un altitude de 12 000 m. Leur repérage
est quasi-impossible sur un écran radar.
Pour exemple, après avoir réalisé
une chute libre à une vitesse de 320 km/h à une altitude
de 10 000 mètres, le nageur peut "dériver sous voile"
(DSV) sur une distance atteignant plus de 80 km, sans bruit, dans l'anonymat
le plus absolu.
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Chuteurs opérationnels
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Saut en tandem plutôt insolite...
Photos © Marine
Nationale
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