"Quand il y a un
impératif de discrétion et de clandestinité, le PSM
est le moyen le plus approprié, analyse un ancien commandant
d'Hubert; Il donne au commando d'action sous marine la capacité
de se projeter à partir de la mer et une capacité significative
d'action."
![]() ![]() Les premiers engins français, les PSM-65 répondaient au début à un besoin exprimé par les nageurs de combat de l'armée de terre. Conçus à Cherbourg et mis en service dans la marine vers 1968-1969, ils étaient nommés familièrement "Vostock", parce que sortis l'année du vol inaugural de l'engin soviétique. Après 2 ans d'essais à la DCN Toulon, une nouvelle série de 2 engins est entrée en service à Hubert, les PSM-NG. ![]()
![]() (Tiré d'un commentaire sur le livre "le Commando Hubert")
![]() ![]() Hubert dispose aussi de petits propulseurs sous-marins appelés familièrement "tracteurs" qui doublent le rayon d'action des nageurs et multiplient par 10 le poids de la charge explosive embarquée. ![]() Longueur: 1,5 mètre Diamètre: 50 cm Poids apparent neutre dans l'eau Vitesse: 6 nds grâce à un moteur électrique Autonomie: 6 heures environ grâce à des batteries en zinc-argent. 15 à 20 miles en fonction des batteries. Charge explosive de 30 à 50 kg à l'avant. ![]() Photo Commando Hubert
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